Retour sur un cas réel : Sophie en burn out, 36 ans, directrice artistique dans une agence de communication

On me demande régulièrement qui sont les personnes que j’accompagne, pourquoi elles viennent me voir.

Le #burnout, l’#épuisement est souvent un motif de consultation, voire le déclencheur pour -enfin- prendre soin de soi.

Bien sûr on retrouve quelques invariants dans les #symptômes : une #fatigue chronique malgré le repos, une fatigue émotionnelle générant de l’irritabilité, une grande émotivité ou un repli sur soi, des difficultés de concentration, des pertes de mémoire, des #douleurs , des #troubles du sommeil, des comportements de fuite, d’agressivité, une perte de sens….

Bien sûr il y a des conseils « évidents » à suivre : apporter toute la patience et l’affection à la personne qui souffre de burn out, ne pas lui fixer d’objectifs ou lui mettre la pression pour « qu’elle se secoue », éviter les situations trop sollicitantes comme les bains de foule, les réunions de famille, laisser la personne dormir, ne pas lui demander de s’occuper du shopping de Noël « car elle est en arrêt, elle a du temps »….

Bien sûr, le burn out est un syndrome d’origine multifactorielle, qui affecte toutes les sphères de la vie de la personne. Il nécessite un suivi pluridisciplinaire (médical et psycho corporel).

Ce diaporama est donc une tentative de réponse, réalisé à partir d’un cas réel d’une personne que j’ai accompagnée. Seuls le prénom et la profession ont été modifiés pour des raisons de confidentialité.

Il n’y aucune recette toute faite mais il existe des étapes à respecter, en partant à chaque fois de la situation individuelle de la personne.

Une des spécificités de mon accompagnement est de mobiliser la matière corporelle, notamment celle des #fascias, cet organe méconnu, immense membrane tissulaire qui a la structure d’un filet complexe, sans discontinuité. Sur équipé en capteurs sensoriels, ces fascias créent le #lien , l’#unité psychique et corporelle qui donne le goût et le sentiment de soi.

Etre en cohérence. Ma plus grande fierté est de constater que j’ai pu contribuer à un retour à la santé*, des prises de conscience et des changements de comportements qui amène à plus d’écologie personnelle. (*telle que définie par l’OMS à savoir : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. ».